Location DOMAINE DES BAUX

Les alentours


Escale à St Raphaël

Il y a fort longtemps... 

La ville de Saint-Raphaël était appréciée des Romains fortunés qui venaient y faire leur séjour d'agrément. 

Bonaparte y débarqua en 1799 lors de son retour de sa campagne d'Egypte
et c'est de Saint-Raphaël qu'il partit pour son exil à l'Ile d'Elbe en 1814.

Au fil du temps...

Saint-Raphaël est devenu une station balnéaire très prisée qui a su conjuguer tourisme et affaires.
Son climat, ses criques, ses ports, ses plages de sable fin, ses panoramas ...
Vous apprécierez la promenade bordant la grande Bleue et le port de Santa Lucia. Animé toute l'année, Saint-Raphaël vous fera découvrir ses traditions et les passionnés de sports nautiques s'en donneront à coeur joie.

Notre appartement se trouve à Boulouris, un quartier résidentiel de Saint-Raphaël, à 300 m de la plage.
Nous espérons pouvoir vous faire partager notre passion pour cet ancien petit village de pêcheur qui a su garder tout son charme

La ville de Saint-Raphaël est animée toute l'année.

 

Fêtes traditionnelles:
La fête du mimosas, les joutes provençales, fête de la Sainte Baume, fête de la Saint Pierre, festival de Jazz, et à ne pas manquer la fête de la lumière en décembre...

Pour les passionnés de sports nautiques et autres:
5 ports, école de navigation, clubs de plongée, pêches, ski nautique,
randonnée cycliste et pédestre dans le massif de l'Esterel, Golf (4 trous), 6 clubs de Tennis...

Pour les accrocs du Shopping:
Les marchés: Place Victor Hugo (ts les matins), Place de la République (ts les matins)

Place de la Poste à Boulouris (lundi matin et jeudi matin du 15 juin au 30 août), marché aux poissons au Vieux Port (ts les matins)
Place Giannetti Agay (mercredi matin, spécial produits artisanaux et vêtements), l'immense marché de Fréjus (samedi matin)
Marchés nocturnes saisonniers (juillet et août)tous les soirs: Promenade R. Coty.
De nombreuses petites boutiques au bord de mer et dans le centre ville.

Et aussi...
De très bons restaurants à des prix très abordables,
Le casino, le Palais des congrès, musée, Thalassothérapie, excursions en mer, une patinoire au centre ville (décembre).

 


20/01/2008
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Monaco

La Principauté de Monaco ou Monaco en forme courte est une Cité-État ainsi qu'une commune occupant la même superficie que l'État lui-même. Enclavée dans le territoire français, Monaco est situé au bord de la mer Méditerrannée, le long de la Côte d'Azur, à une vingtaine de kilomètres à l'est de Nice.

Indépendante depuis 1297, cette monarchie constitutionnelle dirigée depuis 2005 par le Prince souverain Albert II de Monaco occupe aujourd'hui une superficie de 2,02 km² [3] ce qui, après le Vatican, en fait le deuxième plus petit État indépendant du monde. Lors du dernier recensement de 2000, Monaco comptait 32 020 habitants [4]. Avec 15 851 hab./km², c'est le pays le plus densément peuplé. En 2006, la population était estimée à 32 543 [5].

Pratiquement entièrement urbanisée, la principauté de Monaco bénéficie d'un climat méditerranéen particulièrement clément et dispose de nombreuses installations hôtellières de luxe. De nombreux événements internationaux (Grand Prix de Formule 1, Tournoi de Monte-Carlo, Masters de Monte-Carlo) s'y déroulent en plus des attractions présentes tout au long de l'année (Casino de Monte Carlo, Musée océanographique, Palais princier), ce qui en fait une destination privilégiée pour les touristes.

 

Histoire

Les première traces de vie à Monaco remontent à environ 300 000 ans avant J.-C. La protection qu'apportent le rocher de Monaco ainsi que le port naturel et abrité ont attiré de nombreuses peuplades : Ligures, Phéniciens, Grecs, Romains, Sarrasins. L'histoire moderne de Monaco a fortement été marquée par la famille Grimaldi qui règne sans discontinuité sur la Principauté depuis le XIIIe siècle.

Préhistoire

Monaco a servi d'abri aux premiers habitants de la région à partir de la fin du paléolithique inférieur, environ - 300.000 ans. Des ossements d'animaux ayant servi de nourriture à ces hommes préhistoriques ont été retrouvés dans une caverne du Jardin exotique [6]. Des fouilles ont également révélé la présence d'un bassin dans la grotte de l'Observatoire et dans la grotte du Prince [7]. La présence humaine est attestée au paléolithique moyen (- 50.000 ans) et au paléolithique supérieur (- 20.000 ans). A partir de 1500 avant J.-C., les traces d'oeuvre d'art (gravure, sculpture) sont trouvées dans des grottes. Les sépultures funéraires, individuelles ou collectives, deviennent de plus en plus nombreuses. La sépulture des sujets dits "de Grimaldi" date de cette époque et contient une femme et un adolescent.

Antiquité

D'après l'historien Diodore de Sicile et le géographe Strabon, les premiers habitants sédentaires étaient des Ligures qui ont émigré depuis la villes de Gênes en Italie. Cependant, l'ancienne langue ligure, non issue des langues indo-européennes, n'était apparentée ni au dialecte italien parlé ajourd'hui par les habitants de Ligurie, ni au monégasque moderne. Cette avancée à Monaco aurait pu être l'ouverture maritime d'un peuple ligure situé à l'intérieur des terres.

Les Phocéens de Marseille (alors Massalia) ont fondé la colonie de Monoïkos au VIe siècle av. J.-C. à l'endroit ou se trouve maintenant Monaco. Monoïkos était associée à Hercule, adoré sous le nom Hercules Monoecus. D'après les travaux d'Hercule mais également selon Diodore de Sicile et Strabon, les Grecs et les Ligures ont rapporté qu'Hercule était passé par la région.

Après la Guerre des Gaules, Monoecus, où Jules César s'est arrêté en se rendant en Grèce, est passé sous contrôle romain au sein de la province de Gaule narbonnaise. Dans L'Énéide (VI.831), le poète Virgile mentionnait déjà le rocher de Monaco. Le grammairien Maurus Servius Honoratus affirme que le terme Monaco dérive de cette origine : « dictus autem Monoecus vel quod pulsis omnibus illic solus habitavit » (« Hercules a écarté tout le monde et vivait là seul ») et « vel quod in eius templo numquam aliquis deorum simul colitur » (« dans son temps, nul autre dieu n'est vénéré au même instant »). Le nom du port de Monaco est également mentionné dans L'Histoire naturelle de Pline l'Ancien (III.v) et dans Historiae de Tacite (III.42) lorsque l'Empereur Valens a été forcé d'y faire escale « Fabius Valens e sinu Pisano segnitia maris aut adversante vento portum Herculis Monoeci depellitur » [8] (traduction ?).

Moyen Âge

Monaco est resté sous domination romaine jusqu'à l'effondrement de l'Empire romain d'Occident en 476. L'endroit a ensuite été occupé et ravagé par les Sarrasin et diverses tribus barbares. Alors que Monaco était pratiquement dépeuplé, les Sarrasins en furent expulsés en 975 et au XIe siècle, l'endroit était de nouveau peuplé par des Ligures (cette fois, il faut comprendre des populations parlant une langue romane du nord de l'Italie).

En 1191, l'Empereur romain germanique Henry VI a concédé la souveraineté sur Monaco à la ville de Gênes en Italie, d'où sont originaires les Ligures. Le 10 juin 1215, un détachement de Gibelins mené par Fulco del Cassello a commencé la construction d'une forteresse sur le rocher de Monaco. Cette date marque le début de l'histoire moderne de la Principauté de Monaco.

Les Gibelins construisirent leur forteresse pour en faire une position stratégique militaire et un moyen de contrôler la région, ils établirent également des habitations à la base du Rocher afin d'appuyer les garnisons. Pour attirer les habitants de Gênes et des villes environnantes, ils offrirent des terres et exonérèrent de taxes les nouveaux arrivants.

Règne des Grimaldi

Vue de Monaco en 1772.
Vue de Monaco en 1772.

Monaco est gouverné par la dynastie des Grimaldi depuis le 8 janvier 1297, date à laquelle François Grimaldi dit Malizia (François la Malice) s'empara de la forteresse sous un déguisement de moine franciscain. On trouve sur le blason de la principauté les traces de cette origine avec les deux moines tenant une épée.

L'autorité des Grimaldi fut définitivement reconnue en 1314, et s'est perpétuée jusqu'à aujourd'hui à la seule exception de la période de 1793-1814 pendant laquelle Monaco fut intégrée à la France, sous le nom de Fort-Hercule. La ville est ensuite placée sous protectorat du royaume de Sardaigne par le congrès de Vienne jusqu'en 1860. Enfin, en 1861, un traité franco-monégasque assure la souveraineté de Monaco.

Autrefois, les communes françaises de Menton et de Roquebrune (aujourd'hui Roquebrune-Cap-Martin) faisaient partie de la principauté. En 1848, elles se sont soulevées pour des raisons fiscales et se sont proclamées Villes libres. Lors du traité de 1861, elles ont été rattachées à la France.

Le prince de Monaco disposait des pleins pouvoirs (monarchie absolue) jusqu'à l'octroi de la constitution de 1911, qui fait du pays une monarchie constitutionnelle. En juillet 1918, un traité accordant une protection limitée de la principauté par la France est signé entre les deux pays. Le traité fait partie du traité de Versailles et établit que le petit État devra s'aligner sur les intérêts politiques, militaires et économiques de la France.

Seconde guerre mondiale

Histoire récente

Le Prince Rainier III accède au trône après la mort de son grand-père le Prince Louis II (le stade de l'AS Monaco porte d'ailleurs son nom), en 1949. Une nouvelle constitution est rédigée en 1962, abolissant la peine de mort, autorisant le vote des femmes et mettant en place une cour suprême garantissant les libertés fondamentales.

En 1982, la principauté est endeuillée en apprenant la mort de la princesse Grace de Monaco, épouse de Rainier III et mère de l'actuel prince de Monaco (Albert II), victime d'un accident de la route sur les hauteurs de Monaco, sur la route même où elle avait jadis tourné dans le film La Main au collet. Sa fille Stéphanie de Monaco survit à cet accident.

En 1993, Monaco devient officiellement membre des Nations Unies.

En 2004, la principauté de Monaco rejoint le Conseil de l'Europe après de nombreuses tractations et une modification de la loi électorale rendant systématique une représentation de l'opposition au Conseil national par un mode de scrutin ayant une composante proportionnelle.

À la mort du Prince Rainier III, survenue le 6 avril 2005, c'est son fils Albert II (né en 1958), jusque-là prince héréditaire et marquis des Baux, qui devient prince souverain. Les cérémonies marquant son avènement se sont déroulées le 12 juillet 2005, celles de son intronisation officielle le 19 novembre 2005. Le prince étant célibataire et sans enfant légitime, l'héritière du trône est désormais sa sœur aînée Caroline, née en 1957, épouse du prince Ernst-August de Hanovre.

Géographie et climat

Géographie

Article détaillé : Géographie de Monaco.
Vue aérienne de Monaco. De gauche à droite : Fontvieille, le Rocher, le port et Monte-Carlo
Vue aérienne de Monaco. De gauche à droite : Fontvieille, le Rocher, le port et Monte-Carlo

Monaco est située le long de la mer Méditerrannée, sur la Côte d'Azur, à mi-chemin entre Nice et la frontière italienne. Les coordonnées géographiques de la Principauté (au niveau du Musée océanographique) sont 43° 43' 49'' N, 7° 25' 36'' O [3].

Monaco est le deuxième plus petit État indépendant au monde, après le Vatican. Son territoire s'étend sur une bande de terre de 4 100 m le long de la mer Méditerrannée et sa largeur varie de 1 050 à 350 m, pour une superficie totale de 202 hectares (2,02 km²). L'altitue maximale de 164,44 m est atteinte sur un de flanc du Mont Agel, qui culmine à 1 150 m. La place du Palais se trouve 62,20 m.

La principauté compte 5 469 m de frontière (3 274 m avec la commune de Beausoleil, 1 341 m avec Cap d'Ail, 464 m avec Roquebrune-Cap-Martin et 390 m avec la Turbie) ansi que 3 829 m de côte (port et plage).

Au cours des dernières années, des grands travaux ont permis à Monaco de s'étendre de près de 40 hectares, principalement gagnés sur la mer. Les tout premiers travaux de remblaiement ont commencé en 1865 pour créer la voie ferrée, suivis quelques années après par la création du premier quartier industriel de Fontvieille, qui a permis de gagner 5,5 hectares sur la mer. Le fond du port de Monaco a ensuite été comblé et, dans les années 1960, le Grimaldi Forum ainsi que le Larvotto ont été construits [9]. En 1965, sur une initiative du Prince Rainier III et afin de diversifier les activités de la ville, la construction du quartier de Fontvieille a permis la création de 220 000 m² de nouveaux terrains constructibles supplémentaires ainsi que d'un nouveau port. Ce quartier accueille entre autre le stade Louis II ainsi qu'une grande surface [10]. L'extension du port de Monaco s'est également faite vers la mer. La construction d'un digue semie-flottante de 352 m de long pour un poids total de 163 000 tonnes en 2003 a permis la construction de 360 places de parking, 25 000 m² de stockage, 2 gares maritimes ainsi que des locaux administratifs et commerciaux [11]. Le terre-plein artificiel auquel la digue est reliée a permis de gagner un hectare de terrain et a vu la création d'un parc immobilier de 15 000 m² [12]. En 2006, Albert II de Monaco a officiellement lancé un nouveau projet d'extension en mer permettant à terme de gagner 10 nouveaux hectares sur la mer. Ce projet, estimé à 5 milliards d'euros permettra la construction de de 275 000 m² de planchers. Les premier batiments devraient être livrés en 2014 [9].

Toponymie

"Principauté de Monaco" est le nom officiel de la cité-État mais la forme courte "Monaco" est souvent employée pour désigner la Principauté. Le nom de la Principauté dériverait de Monoïkos (Μόνοικος en grec) et la première mention de Monaco serait due à Hécatée de Milet, historien et géographe grecque du VIe siècle av. J.-C., qui écrivit «Monoïkos, polis Ligustikè» (Monaco, ville de Ligurie) dans sa Périégèse. Il existe plusieurs hypothèse, associées au Grecs et aux ligures, pour expliquer l'origine de Monoïkos,

L'origine de cet terme remonterait à l'époque ou Monaco était sous domination ligure. La région de Monaco a été en effet habitée depuis 300 000 av J.-C. environ mais les première tribus ligures s'y installèrent vers 2000 av. J-C [13]. La tribu ligure des Monoïkos, présente sur le rocher au Ve siècle av. J.-C., aurait pu être à l'origine du nom à la ville [14].

Il existe également une autre origine pour le terme Monoïkos qui remonterait aux temps où Monaco était un comptoire phénicien. Partout où les Phéniciens se rendaient, ils élevaient des chapelles à leurs divinités, dont le dieu Melkart, associé à Hercule ou Héraclès par les romains ou les grecques [15].

Tout au long de l'Antiquité, le port de Monaco fut associé à Hercule (

10/07/2007
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Le Mercantour

Mercantour
(roya - bévéra)

Un parc national

Son action, ses infrastructures Créé en 1979, aux frontières de la France et de l'Italie, le Mercantour est avec la Vanoise, Port-Cros, les Pyrénées, les Cévennes, les Ecrins et la Guadeloupe, l'un des sept parcs nationaux français. Il s'inscrit dans un réseau mondial de plus de 1 500 espaces consacrés à la nature dont 200 se situent en Europe.

Les parcs ont pour mission de protéger la nature et ses paysages ainsi que la diversité biologique des territoires dont ils assurent la gestion, tout en mettant ce patrimoine à la disposition du public. Ils en favorisent la découverte et la connaissance et veillent à ce qu'il soit transmis dans les meilleures conditions, aux générations futures. Un parc national doit également encourager, en zone périphérique, les activités économiques compatibles avec le respect de l'environnement. Réaliser l'inventaire de la faune et de la flore permet au Parc du Mercantour d'élaborer des méthodes de gestion du milieu et de participer aux programmes de réintroduction d'espèces menacées comme par exemple le bouquetin entre 1987 et 1995 ou encore le gypaète barbu. Observer les animaux pour mieux connaître leurs comportements sociaux et alimentaires est essentiel à l'application de principes de gestion adaptés.

Le parc participe activement au développement de comportements respectueux vis-à-vis de la nature et de ses équilibres souvent précaires, notamment grâce à des programmes de sensibilisation, mis en place dans les écoles.

Ecards

Photo Panoramique


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Les 600 kilomètres de sentiers balisés qui sillonnent le parc accueillent les randonneurs. Les sites les plus fréquentés présentent des circuits d'interprétation invitant les visiteurs à découvrir les richesses naturelles de la région. Des maisons du parc ou points d'informa-tion sont ouverts dans chaque vallée, proposant expositions, conférences-projections et un éventail important de publications sur la nature.

Le parc national est un espace juridique et social composé de deux zones. Une zone centrale où le terri-toire est exclusivement réservé à la nature, la protection y est par conséquent prioritaire, et une zone périphé-rique, où sont situés les villages. Le parc y encourage le développement économique, mais dans le souci constant d'harmoniser impact des activités humaines et protection de l'environnement. Il exerce un rôle de consultant et soutient la réalisation d'aménagements, tant par des aides techniques et logistiques que finan-cières. Ainsi, il participe à la construction d'aires de stationnement paysagères ; conduit, en collaboration avec les collectivités locales, des opérations de nettoiement et de réhabilitation de certains sites victimes de pollution...

Le Parc national du Mercantour est jumelé depuis 1987 au Parco naturale delle Alpi Marittime, en Italie. En 1993 ces deux parcs ont reçu du Conseil de l'Euro-pe, le diplôme européen de sauvegarde de la nature. Pour sceller des liens déjà existants, en juin 1998 a eu lieu la cérémonie de Signature de la Charte de Jumelage qui constitue une étape importante vers une identité transfrontalière, et vers la création d'un futur Parc européen.

Des paysages aux multiples facettes

La situation géographique particulière du Mercantour, aux confins de la Méditerranée et des Alpes, et le caractère même de ses composants minéraux concourent à créer des paysages extrêmement contrastés. A moins d'une heure du littoral, le relief se déploie tantôt plissé, tantôt creusé de gorges sinueuses, ou bien encore hérissé de cimes fièrement tendues vers l'azur. Les glaces d'autrefois ont ciselé le massif tel un joyau et une myriade d'émeraudes étincelantes - lac d'Allos, lac Autier, lac Long... - réhausse, si besoin en était, la beauté de la montagne.

Du haut de ses 3 143 m, la cime du Gélas domine incontestablement le Mercantour. Les autres culminent pour la plupart à plus de 2 000 m : Tête de la Ruine (2 984 m), mont du Grand Capelet (2 934 m), mont Bégo (2 873 m), cime de l'Agnellière (2 699 m), cime du Diable (2 686 m)... que de noms chargés d'histoire et de légendes !

La magie du Mercantour, c'est le privilège d'offrir au visiteur un voyage dans l'espace et le temps. De lui faire traverser les tourmentes du quaternaire pour le transporter dans la chaleur parfumée de lavande et de pin de la Provence ensoleillée, ou le guider vers le calme blanc de paysages arctiques, dont les névés embrassent de leur silence bleuté la timide végétation d'altitude.


10/07/2007
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Menton

Le Citron, symbole de l'identité de Menton
Pour le Maire de Menton, le citron est devenu le symbole le plus évident
et le plus fort de la ville".
La Fête du Citron®, "ancrée dans la tradition locale,
a su évoluer avec son temps.
Le citron comme emblème
Pour le Maire : "Le citron est devenu le symbole de la ville de Menton. Nous l'avons choisi comme emblème : il est désormais au coeur de la charte graphique de tous nos documents. Il accompagne parfaitement la devise associée à notre logo, "Menton : ma ville est un jardin".

La Fête du Citron® : des retombées capitales
Le Maire mesure l'importance des retombées de la Fête du Citron® sur l'économie de la cité mais aussi en termes d'image de marque : "Grâce à cet événement très médiatisé, le nom de Menton est connu dans le monde entier. Il est associé de façon sympathique à l'idée de fête, mais aussi à un produit local, dont la symbolique est aussi dans l'air du temps. Le citron évoque à la fois une couleur, des sensations gustatives, la notion de terroir et d'écologie, les parfums des jardins méditerranéens… Quant aux retombées économiques pour Menton, elles sont capitales. Cette manifestation a d'abord le mérite de s'autofinancer largement : pour un coût global d'environ 8 MF, elle est habituellement excédentaire de plus d'1 MF. Elle génère des bénéfices conséquents pour les acteurs locaux du tourisme : hôteliers, restaurateurs, commerçants…"

Un bond en avant qualitatif
Le Maire voit avec satisfaction cet événement populaire évoluer avec son temps : "La collaboration avec des professionnels de l'animation comme ceux de Disneyland Paris a fait faire à la Fête du Citron® un bond en avant qualitatif. Les équipes municipales se sont surpassées pour créer des sujets de plus en plus élaborés et élégants. Certains de nos collaborateurs font preuve d'un réel talent artistique. Au point que ce savoir-faire intéresse à présent des partenaires : des projets sont à l'étude avec le Disney World d'Orlando en Floride, avec la Tunisie… La Fête du Citron® source d'essaimage et de transfert de technologie, voilà qui serait novateur !" Un label justifié
L'obtention d'un label pour le citron de Menton est l'un de ses chevaux de bataille : "L'équipe municipale ne ménage pas ses efforts pour relancer la production d'agrumes dans le Mentonnais. Avec le Crédit Agricole, nous avons subventionné l'achat de plants par les agrumiculteurs locaux. La culture du citron serait une façon intelligente de reconstituer le paysage dans l'esprit des nouvelles lois d'a ménagement, comme la loi Montagne et la loi Littoral."

Un argument touristique
Le citron est un excellent argument touristique pour Menton dans le cadre d'une politique de renouveau touristique, tournée vers le concept "nature et culture". Car il peut être décliné dans ses différentes thématiques :agricole et paysagère, avec les plantations de citronniers ; botanique, avec la collection du Palais Carnolès ; gastronomique, en développant des produits à base de citron, des recettes, des boissons…

Fête du citron

15 jours de liesses et furies pétillantes qui déambulent…
15 jours livrés à la marmaille festive et à la volubile ripaille…
15 jours où les rues appartiennent aux géants,
fanfares et saltimbanques…
Sifflets, tam-tams, tambours et maracas roulent,
cognent, secouent…
Aux percussions endiablées, les cuivres scandent
des mélodies enjouées.
Visages masqués ou peints, costumes traditionnels ou clownesques, coiffes somptueuses ou perruques affriolantes,
la Fête du Citron invite les Carnavals du Monde. Et à la fin de la fête, sa Majesté Carnaval n’est ni brûlé, ni noyée mais tout simplement confite ou pressée !

 

Jardins    Menton

Pourquoi la cité de Menton est-elle riche de tant de jardins d'intérêt international?
D'une part, parce que son micro-climat est particulièrement favorable à la croissance des végétaux (originaires de climats tempérés ou sub-tropicaux).
Grâce à son orientation Sud-Est et à sa latitude, elle jouit d'un fort ensoleillement.
La mer réduit les amplitudes thermiques parfois excessives du climat méditerranéen et apporte une pluviométrie suffisante, les Alpes la protègent des courants d'air froid.
Aussi Menton est-elle considérée comme la ville la plus tempérée de France!
D'autre part, et en raison de ce climat exceptionnel, dès la Belle Epoque, des étrangers amoureux de Menton y ont construit de magnifiques résidences.
Passionnés de botanique, ils acclimatent des plantes rares pour valoriser leurs demeures.
De cette époque, Menton conserve un patrimoine et un héritage culturel remarquables.

Parmi tous les jardins de la ville totalisant environ 46 ha,
on peut en sélectionner et étudier huit, les jardins dits "d'exception" :

Documentation pdf
1,1 Mo

Ecran de veille
jardins.scr
(1297 Ko)

Diaporama


Jardins    Menton
Le jardin du Palais Carnolès :
collection d'agrumes (1 ha)
Serre de la Madone :
jardin classé (8.7 ha dont 2.5 ha)
Le Clos du Peyronnet :
jardin de collection botanique (0.6 ha)
Le Val Rahmeh :
jardin botanique géré par le Muséum d'Histoire Naturelle (1.5 ha)
Le parc du Pian :
oliveraie (2.5 ha)
Fontana Rosa :
jardin de céramiques classé (0.7 ha)
Le jardin des Colombières :
jardin méditerranéen (2.5 ha)
Le jardin de Maria Serena :
jardin de plantes tropicales (1.5 ha)

 


10/07/2007
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Parc Zoologique de Fréjus

Créé en 1971, dans un cadre naturel boisé typiquement méditerranéen, il bénéficie du climat privilégié de la Côte d'Azur - 250 jours de soleil par an !. Au cours de votre promenade (à pied ou en voiture) dans notre parc de 20 hectares, vous allez découvrir plus de 130 espèces animales originaires des cinq continents. Du plus petit, le Tamarin Pinché (Saguinus oedipus) au plus gros, l'Eléphant asiatique (Elephas maximus); des mammifères, aux oiseaux en passant par les reptiles, il y en aura pour tous les goûts !

Mais au-delà du plaisir des yeyx, la parc zoologique de Fréjus, a pour vocation de meiux faire connaître la faune sauvage, bien souvent menacée dans son habitat d'origine. Le but ambitieux que nous poursuivons, est d'apporter notre pierre à l'édifice de la protestion de la nature en assurant la reproduction de certaines des espèces animales les pous fragiles, surtout celles en danger ou en voie d'extinction. Pour mener à bien ce vaste et ambitieux projet, notre parc a été aménagé de façon à respecter les impératifs qui conditionnent l'acclimatation en vue de la reproduction des différentes espèces animales présentées.

Il est bien évident que la vie au grand air, tout au long de l'année, et un ensoleillement prolongé sont, entre autres, des atouts indéniables favorisant la reproduction de nombreuses espèces. La qualité de l'alimentation joue un rôle important dans le succès de notre entreprise et nous mettons un point d'honneur à donner à nos pensionnaires une nourriture composée exclusivement d'aliments naturels en respectant bien sur le régime alimentaire de chaque espèce (viande pour les canivores, fruits et légumes frais ou foin pour les végétariens, alimentation mixte pour les omnivores). Les évènements récents ne font que conforter la justesse de notre démarche.

Nos efforts sont régulièrement récompensés par nombre de naissances, d'espèces communes mais aussi et surtout d'espèces menacées - Tigre (Panthera tigris), Panthère (Panthera pardus) - ou en voie de disparition - Maki Vari (Varecia variegatus).

Enfin, nous sommes également là pour vous faire découvrir les relations privilégiées qui peuvent s'établir entre l'homme et l'animal. Ceci étant démontré par le jeu auquel se livrent nos soigneurs dans nos spectacles de fauves.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


10/07/2007
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